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05 mai 2025 | Articles

Compte rendu du Conseil Municipal du 5 mai 2025

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Aujourd’hui s’est tenu le conseil municipal du mois de mai en présence de 12 élus. Deux minutes de silence ont été observées en hommage à Margot Simond et Roger Machet. La séance s’est ouverte par la présentation des 18 décisions prises par le maire. Frédéric Monneret a évoqué le mauvais état de l'ensemble des toilettes publiques du Centre dont les travaux d'étanchéité ont été signés pour un coût total de 6 348,44 euros. Ingrid Tholmer a également demandé des précisions au sujet des séances d'analyses de pratique à destination des professionnels des Bouts'choux, et qu'il s'agit d'une formation aux personnels de la crèche à expliquer le maire. L'élue a aussi demandé pour la location du véhicule pour le village des enfants dont le maire a annoncé qu'il s'agissait d'un besoin supplémentaire.


L'ordre du jour s'est ensuite ouvert avec le premier point énoncé par le maire et qui portait sur l'engagement de la procédure de Déclaration d'Utilité Publique (DUP) - Création d'un pôle de mobilité à la Daille et renaturation des berges de l'Isère. Depuis la fin des années 1980, la commune de Val d'Isère propose une offre de stationnement aérien, en entrée de station dans la plaine de la Daille, pour les véhicules légers et les bus. La gestion du parking étant assurée par le délégataire de service public de la commune en charge du stationnement. Parallèlement à cela, la zone accueillait un simple arrêt de bus desservant le hameau ainsi qu'un accès au domaine skiable sur l'aire de retournement du funiculaire, au niveau de la gare routière actuelle. Cette zone d'environ 1,2 hectare se caractérise notamment par la présence de fonciers privés. L'utilisation de ces fonciers, parcelles cadastrées au lieu-dit Plan de la Daille, a donc fait l'objet de conventionnements maintes fois renouvelés depuis plus de 35 ans. À la fin des années 2010, peu avant le renouvellement de la convention, des discussions se sont engagées sur le rachat potentiel desdites parcelles par la commune de Val d'Isère. Depuis 2020, la municipalité a choisi d'engager une réflexion sur la mobilité dans le village et la question du transfert du pôle multimodal du centre vers le secteur de la Daille, en proximité directe des parkings existants, s'est posée. La gare routière a d'ailleurs été déplacée physiquement dans une version temporaire, sans aménagement ni nouvelles constructions d'importance, permettant de tester le fonctionnement et la gestion des flux in situ durant l'hiver 2024/2025. Ce déplacement de la gare routière a permis de conforter la réflexion de la commune qui a désormais le projet de créer un pôle de mobilité en entrée en station, réorganiser l'offre en stationnement sur le secteur de la Daille, améliorer la circulation dans le centre bourg, offrir une alternative aux déplacements en voiture, et renaturer les berges de l'Isère en valorisant la qualité paysagère de l'entrée de village. La commune ne dispose pas de la maîtrise foncière de tous les terrains nécessaires à ce projet. Les négociations menées avec les propriétaires fonciers stagnent et ne permettent plus à la commune d'avancer sereinement sur ce projet. Elle souhaite donc engager une démarche de Déclaration d'Utilité Publique (DUP) afin de souligner son intérêt général et son caractère structurant pour le territoire. Une deuxième abstention a été comptabilisée durant le vote.


    Le deuxième point était sur les tarifs des remontées mécaniques été 2025 et hiver 2025/2026. Comme chaque année, la commune de Val d'Isère et celle de Tignes, ainsi que les concessionnaires respectifs travaillent en concertation sur les tarifs des remontées mécaniques. Pour référence, l'indice BIPE, tel qu'il est défini dans la convention de concession, est de 3.68 %. Sur cette base, la proposition de la commune intègre l'application des conditions de l'avenant 12, notamment l'augmentation tarifaire de 1.5 % au-dessus du BIPE, pour arriver à une référence de 5.18 % pour l'hiver 2025-2026. Les propositions ci-dessous tiennent compte de leurs enjeux communs à savoir de maintenir l'attractivité lors des vacances scolaires par la mise en place d'une offre famille compétitive et des remises pour la jeune clientèle, de booster les « ailes de saison » avec des tarifs et ouvertures adaptés. Concernant l'amplitude de la saison, le domaine reliant Tignes et Val d'Isère ouvrira le samedi 29 novembre 2025 et fermera le dimanche 3 mai 2026. Les enfants continueront à bénéficier de la gratuité jusqu'à l'âge de 8 ans, offre singulière et différenciant en Haute Tarentaise. Les jeunes auront également accès à un tarif remisé à 17% jusqu'à l'âge de 18 ans inclus. Les forfaits seront offerts pour les personnes de plus de 75 ans. Afin de maintenir et développer l'attractivité de la destination pour la clientèle familiale, notamment pendant la période de vacances scolaires, la commune propose l'offre famille avec une remise complémentaire de 300 euros. Par exemple, pour une famille composée de deux adultes et de deux adolescents âgés entre 8 à 18 ans, le prix sera de 1 344 euros pour sept jours, dont un offert, au lieu de 1 644 euros. Le forfait jour pour Val d'Isère et Tignes est annoncé à 75 euros pour un adulte, le forfait saison sera à 1 125 euros. Le forfait réduit sera à 675 euros pour le domaine Val d'Isère et Tignes et de 540 euros pour seulement Val d'Isère. Fabien Hacquard a demandé si le volume de forfaits vendus l'hiver dernier en tarif saisonnier par Vie Val d'Is était connu. Le maire a donné une fourchette entre 1 700 et 2 000 forfaits saisonniers vendus. Frédéric Monneret a rebondi en expliquant que le tarif public augmente ainsi que celui des saisonniers. « Pour les saisonniers, ça va commencé à être un petit peu trop chers pour beaucoup de nos saisonniers qui ont aussi pas mal de dépenses à leur arrivée. Est-ce qu'on peut penser dans les années futures à envisager d'adapter ou de plafonner ce tarif ? » Patrick Martin explique que ce tarif est quantitatif et qu'il n'est pas possible aux yeux de la loi de faire un tarif spécial. Frédéric Monneret a continué ses interrogations au sujet du ski d'été sur le Glacier du Pisaillas qui débutera du samedi 14 juin au dimanche 13 juillet. Le maire a rappelé que la commune qui vote les dates d'ouvertures est la commune de Bonneval-sur-Arc. « Je fais mes meilleurs efforts pour avoir une ouverture plus précoce du domaine skiable du Pisaillas, notamment par l'ouverture de la route du col de l'Iseran. Un expert va venir le vendredi 9 mai pour observer les pentes. L'argument principal porté par le département, c'est de dire que le déneigement ne se fera que dans les conditions de sécurité optimale. J'ai demandé au département de faire leurs meilleurs efforts pour ouvrir le vendredi 6 juin et qu'on le sache à l'avance. » Frédéric Monneret reprend la parole. « On ne leur demande pas de faire un effort, on leur demande juste de rejoindre ce qu'ils avaient l'habitude de faire. Là, c'est exceptionnellement tard.» Patrick Martin répond. « Le but c'est de maintenir le ski d'été avec une fermeture le 13 juillet qui me paraît déraisonnable quand on voit l'état actuel du glacier. La réflexion qu'on mène aussi c'est de se dire qu’il y a encore beaucoup de neige sur le domaine skiable et notamment sur l'envers de Bellevarde. Sans doute à terme, il conviendrait de continuer à skier pour ce qui est des clubs, des entraînements, etc., au mois de mai sur Bellevarde. Cela nous rendrait totalement indépendants de l'ouverture de la route du col, mais qui n'arrangerait pas la plupart des clubs qui viennent s'entraîner et se loger en Maurienne. » L'élu a aussi exprimé sa déception sur le fait de ne pas utiliser la nouvelle télécabine du Vallon pour rejoindre le glacier. Patrick Martin partage cette déception, mais que cela ne résous pas le problème selon lui. « Nous concernant, si l’on pouvait utiliser ces remontées mécaniques, on pourrait se passer de la route du col de l'Iseran pour monter là-haut, à condition que l'accès soit facile entre l'arrivée de la remontée mécanique et puis la descente au niveau du Pisaillas. Donc ce n'est pas  aussi simple que cela. » Dominique Maire s'est également questionné sur le forfait 4h, s’il concernait les deux domaines skiables, le maire a répondu qu'il s'agit seulement d'un seul domaine au même prix. Ingrid Tholmer a voulu savoir le tarif piéton et s'il augmentera. Le maire a confirmé qu'il ne sera pas augmenté et sera peut-être revu en baisse.  Un vote contre par procuration a été pris en compte.


Le point suivant était sur la tarification de la mise à disposition de moyens informatiques. Le service informatique de la commune est amené à réaliser la mise à disposition de moyens informatiques pour des tiers avec lesquels des conventions sont établies, ainsi que d'autres tiers extérieurs, conventionnés également. Ces tarifs sont applicables à partir du 1er janvier 2025, et révisables annuellement en fonction de données propres à chaque frais. Les modalités globales de facturation suivantes ont été définies pour chaque type de frais. Le service comptabilité-budget de la commune génère une facture sur la base d'un état récapitulatif pour chaque service en fonction des temporalités (annuelles ou mensuelles) indiquées directement au niveau du calcul des tarifs. Un avis de sommes à payer sera ensuite réalisé par la trésorerie. Tout mois commencé est dû, avec quatre types de natures de dépenses comme les frais de fonctionnement, les frais de personnel, les frais spécifiques du système d'information commun, les autres frais spécifiques et le détail de chaque type de frais identifiés. Ces tarifs viennent compléter le listing des tarifs communaux en vigueur. L'ensemble des élus ont approuvé les principes de calculs et les tarifs présentés ainsi que de les appliquer.


    Le quatrième point faisait référence à la gestion et le contrôle des sites du pied de la piste de l'épaule et de la carrière des Piches. Chaque année, un arrêté municipal réglemente les chantiers qui se déroulent sur la commune de Val d'Isère. La commune autorise les entreprises avec lesquelles elle a signé préalablement une convention à venir déposer des matériaux issus du terrassement (pierres et terre) sur le site dit du bas de l'épaule et à retirer des pierres de la carrière des Piches, notamment, pour le parement de façades de bâtiments en cours de construction (pierre de Val qui doit être posée, conformément au plan local d'urbanisme en vigueur). Les sites du bas de l'épaule et la carrière des Piches sont des propriétés communales. Il a été décidé de confier la bonne gestion de ces deux sites à une entreprise spécialisée. Par conséquent, une consultation, sous la forme d'un appel d'offres ouvert pour un an, a été lancée. Après avoir pris connaissance du rapport d'analyse de l'offre, la commission a décidé d'attribuer le marché à l'entreprise BOSSET VAL. Le maire confie qu'il s'agit d'un combat concernant les dépôts sur ce secteur et que c'est important pour la commune. Frédéric Monneret a posé une question en lien avec les chantiers. « On constate depuis ce matin que les pelleteuses ont remplacé les navettes de la STVI. On voit que c'est l'intersaison. Mais même avant ce matin, on a vu des camions stocker une grue sur le parking public de la Plaine de la Daille. C'est reparti, ça va redevenir le grand dépôt des chantiers sur la Plaine de la Daille donc c'est ce qu'on offre à nos visiteurs séjournant ou itinérant à une des entrées de Val d'Isère durant l'été. On avait déjà alerté l'année dernière, car ce n'était ni sécurisé ni attractif. On entend dire que les maîtres d’œuvre n'ont pas de place, mais vous aller n'importe où, à Lyon ou à Paris, les gars ils font des tours d'une dizaine d'étages avec des zones de chantiers qui sont ultra réduite et restreinte et ils se débrouillent. Je pense qu'il faut  qu'on acte quelque chose sur la Plaine de la Daille, car, pour moi, ça ne correspond pas à ce qu'on doit voir lorsqu'on arrive sur Val d'Isère. » Patrick Martin a confirmé qu'il y a un arrêté de chantier depuis l'année dernière et qui précise les endroits où les entreprises peuvent déposer et stocker leurs matériaux de manières temporaires et sur l'ancienne gare routière durant l'intersaison. « Ça attaque vite et de manière anticipée, mais c'est plutôt une bonne nouvelle, car on a beaucoup souffert l'année dernière avec les retards de certaines entreprises. L'objectif c'est d'avoir tout ce qui est terrassements et démolitions dans la période mai et juin et doit avoir un impact le plus minime possible durant la période estivale. » Frédéric Monneret surenchérit « donc la Plaine de la Daille est le dépotoir de Val d'Isère durant l'été. » Le maire contredit. « Non. C'est la zone où les entreprises viennent de manière temporaire. » l'élu répond à son tour, « soit on décide d'avoir quelque chose qui est accueillant, qui est clair et précis sur l'ensemble de la Plaine de la Daille, soit on dit que c'est le salon du BTP. Cet argument d'être heureux qu'on ait de la construction à Val d'Isère, je suis complètement d'accord avec toi, mais aujourd'hui, c'est devenu un argumentaire qui permet aux gens de s'étendre et d'utiliser plus que ce qu'on doit leur donner. À un moment donné, il faut trouver le juste milieu. Ça ne marchait pas comme ça avant. Les entreprises qui commandaient des prémurs, ils étaient installés directement  et n'étaient pas stockés sur un espace visible de tous. » Pierre Cerboneschi explique à l'élu de ne pas faire un amalgame. « D'un côté, il y a la préparation des chantiers en début de saison et puis, le stockage des grues pour être prêts et on peut même se féliciter que plus ça démarre tôt, plus ça terminera tôt. Vous savez bien à quoi il faut s'attendre, on se retrouve fin novembre à l'arrache avec les grues qui s'en vont, il neige, etc. Ce qui, à mon sens, est important c'est la clientèle. Sur la rive gauche de l'Isère,  souvent on a eu affaire, et c'est toujours le cas, à du stockage de matériels de la STVI avec beaucoup de bennes à ferrailles. Et c'est ça qu'il faut éviter. À la limite qu'il y ait deux prémurs qui restent pendant deux à trois jours c'est une chose qui est bien différente, mais quand on passe l'été avec, on est chez les ferrailleurs et ce n’est pas possible. Rien n'est réjouissant. Je te rejoins, ce n’est pas désirable, ce n’est pas souhaitable. » L'élu continue son argumentation. « Si tu mets la pression aux constructeurs, ils vont se débrouiller pour que ça arrive pile-poil. Est-ce qu'on peut avoir dans le compromis en juillet et août une Plaine de la Daille qui est propre et accueillante. » Fabien Hacquard rejoint également l'avis de l'élu et du premier adjoint au maire. « Le problème ce n'est pas les prémurs qui vont rester deux jours. Aujourd'hui, tout le monde stocke du matériel, parfois même de la déchetterie, de partout dans le village, à des endroits où ça n'a rien à faire là. Ce n'est pas digne et ce n'est pas normal. Mai et juin c'est OK, mais juillet et août il faut que ce soit propre. Là, c'est indigne. » Pierre Cerboneschi soumet l'idée d'imaginer ces espaces à de la location pour les constructeurs durant l'été. Le maire affirme avoir mis la pression pour que l'ensemble des chantiers commencent tôt. L'ensemble des élus présents ont voté pour.

    
    Patrick Martin a laissé la parole à son premier adjoint Pierre Cerboneschi pour la régularisation foncière suite à la création du canal de l'Isère réalisé après les inondations de 1957. Le cadastre a été modifié, entraînant ainsi des erreurs d'intégration de parcelles privées dans le Domaine public. La parcelle du Domaine public n'a jamais été affectée à un service public ni à l'usage du public et est en tout état de cause, à ce jour, désaffectée de destination à l'usage du service public. À l'origine, cette partie du Domaine public faisait partie intégrante de la parcelle AD 239, propriété de la famille Mattis-Bianchi. Cet espace sera recédé à l'euro symbolique à la famille. Frédéric Monneret en a profité pour évoquer les potentielles constructions prévues sur la zone du Coin et de prendre en compte l'acheminement des piétons. Le premier adjoint confirme que la circulation piétonne a bien été prise en compte sur l'ensemble de la zone. Patrick Martin rappelle que l'espace public doit garder de la place pour la circulation piétonne, mais aussi des véhicules, la gestion des encombrants et les molochs. Le conseil municipal a voté pour.


    Le point suivant était sur le déclassement du Domaine public de la parcelle au lieu-dit « Le Coin » AD 599. Il est rappelé que par délibération précédente, le Conseil Municipal a constaté la désaffectation à tout service public, ou à l'usage direct du public de cette parcelle. Les élus ont approuvé ce déclassement.


    Le septième point visait la rétrocession de cette même parcelle. Elle a été intégrée par erreur au Domaine public. La rétrocession de cette parcelle devra faire l'objet d'une cession à l'euro symbolique. Les frais d'acte notarié seront supportés par la famille Mattis-Bianchi ou toute autre société se substituant à eux. Les élus ont approuvé le projet de rétrocession et autorisé le maire à céder à l'euro symbolique à la Famille Mattis-Bianchi de la partie du Domaine public.


Le nouveau point faisait également l’objet d'une régularisation foncière. La parcelle AD 578 sur l'avenue Olympique qui  n'a jamais été affectée à un service public ni à l'usage du public et est en tout état de cause, à ce jour, désaffectée de destination à l'usage du service public. Frédéric Monneret réagit, « ça veut dire que du jour au lendemain il peut y avoir une barrière qui bloque cet espace qui est très utilisé actuellement par les piétons ? » Patrick Martin rappelle que c'est un dossier qui date de 1957, et aucune régularisation n'avait été faite à ce jour. Certains élus souhaitent soumettre l'idée d'interdire un futur opérateur de fermer la circulation piétonne. Les élus ont voté en faveur de ce point.


    Le point suivant faisait référence au déclassement du Domaine public de cette parcelle. Suite au point précédent, il convient au conseil municipal de procéder au déclassement du Domaine public de cette parcelle qui a été accepté par les élus présents.


Le dixième point concernait la rétrocession de cette même parcelle. Les détails de la cession au profit de la SARL Hôtel Tsanteleina sont inscrits dans le projet d'acte de vente joint à la présente. La rétrocession de cette parcelle devra faire l'objet d'une cession à l'euro symbolique. Les frais d'acte notarié seront supportés par la SARL Hôtel Tsanteleina ou toute autre société se substituant à elle. Le conseil municipal a approuvé le projet d'acte de cession.


    La deuxième adjointe a continué l'ordre du jour en exposant le point sur les comptes administratifs 2024 avec le budget principal de la ville. L'excédent de fonctionnements cumulé de 1 995 775,05 euros. L'excédent d'investissement cumulé de 2 633 312,84 euros. Les comptes de gestion et compte administratif 2024 en version intégrale sont disponibles à la consultation auprès du service Finances. En fonctionnement, il est noté une économie à hauteur de 619 463 euros sur le chapitre lié aux services généraux de la collectivité. En investissements, la commune enregistre un taux de réalisation de 71,4%, ce qui est « remarquable » pour la deuxième adjointe. Une redistribution de subvention en investissement de 75 000 euros pour le Club des Sports, environ 250 000 euros pour le plan qualité des routes et 350 000 euros au bénéfice de la SEM au titre des investissements de 2024. La commune a également remboursé une annuité de dettes à hauteur de 1 296 934 euros et n'a pas souscrit d'emprunts. Les principales opérations réalisées en investissement sont la réfection de l'avenue du Prariond, l'aménagement de la voirie du Fornet, le déplacement de la gare routière, la sécurisation du village, l'aménagement de la cour de l'école primaire ou encore l'acoustique du gymnase. Frédéric Monneret est surpris de la notation d'une recette a plus de 2,6 millions d'euros. « C'est dû à la taxe d'habitation ? » Véronique Pesenti-Gros s'explique, « En fin d'année, on a reçu de grosses recettes qui sont tombées et qui n'étaient pas prévues et qu'on n'a pu anticiper. On est content, mais ça ne nous sert pas à grand-chose au titre de l'année 2024. » Patrick Martin évoque un atterrissage plus confortable. « Je vous rappelle qu'en dehors de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires, les taux sont stables, l'assiette augmente et après on a des choses qui sont difficiles à prévoir comme les droits de mutation. C'est une taxe qu'on touche sur toutes les ventes de biens immobiliers qui ont plus de 5 ans. Il y a parfois des mutations importantes, quand il s'agit de promoteurs, ils ont le droit de s'exonérer de cette taxe. Cette taxe peut varier jusqu'à 1 million d'euros. Le budget du fonctionnement de la commune s'élève à 30 millions d'euros. C'est beaucoup d'argent et en même temps en face, il y a beaucoup de dépenses et l'exercice consiste à répartir ça en étant prudent, mais pas trop, afin de continuer à investir et aller de l'avant. » Frédéric Monneret a souhaité savoir ce qu'il en était du financement du bâtiment de l'ancienne piscine. « On sait pertinemment que la réussite de ce projet vient de la vente effective de la gare routière du centre. On sait que le promoteur n'a pas l'intention de construire tout de suite sur ce secteur. Dans quelle mesure le projet risque d'être un peu handicapant pour la commune ? Aujourd'hui, on engage des fonds alors qu'on n’a aucune certitude de voir un jour ce terrain construit, ou alors, il pourrait finalement, si un jour la commune met le flingue sur la tempe de faire venir une manière de négociation et de proposer un projet qui n'était pas prévu initialement et qui rendrait l'ensemble du projet de cette zone du Coin un peu mauvaise. » Véronique Pesenti-Gros explique qu'il ne s'agit pas de la seule source de financement envisagée pour ce projet, avec d'autres types de financement proposé si Val d'Isère accueille les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2030. « Le montage budgétaire n'est pas finalisé. Si l'opérateur ne construit pas, effectivement cette soulte ne sera pas versée en l'état, mais par contre il faudra qu'on revienne discuter avec l'aménageur puisque la ZAC du Coin est bel et bien achevée et que, auquel cas, il y aura effectivement une sortie qui devra être négociée hors construction. » Frédéric Monneret reste ferme. « Aujourd'hui, on a un projet et que la source de financement en face, elle est hyper aléatoire. » Patrick Martin rappelle à l'élu que lors d'un projet, deux moyens sont possibles. « Soit on attend d'avoir la totalité de la somme, c'est valable à titre particulier ou pour la collectivité et les entreprises et dans ces cas-là on ne fait rien. Un, il faut emprunter, deux, il faut une solution de financement. Le 23 juin qui devait être la date de l'annonce des sites retenus pour les JO 2030, elle est vraisemblablement reculée d'au moins trois semaines à la mi-juillet et ce n'est pas très rassurant. Si Val d'Isère est retenue pour avoir des épreuves olympiques et bien oui, il y aura un financement. Les derniers échos que j'en ai sont plutôt positifs. » Le maire n'a pas pris part au vote. Deux votes contre et une abstention par procuration ont été retenues.


    Le point numéro douze était cette fois-ci sur le compte de gestion, compte administratif et affectation des résultats 2024 pour le budget des équipements culturels et sportifs. Ce budget concerne le Centre Aquasportif, les locaux du Club des Sports, la patinoire, le Centre Henri Oreiller, le Village des enfants et les installations sportives d'été et d'hiver. En exploitation, la commune a constaté un excédent de 116 567,76 euros et en investissement un déficit constaté de 479 817,82 euros avec un report des investissements de 142 128,63 euros. Le déficit d'investissement enregistré est généré par le fait qu'ils n'ont pas eu recours à l'emprunt sur les opérations d'investissement qui avait été programmé l'année passée. Pour rappel, ce budget est intégralement subventionné par le budget principal de la ville via notamment la réversion de l'excédent de la taxe de séjour. En exploitation, une augmentation de 8,9% des charges a été constatée et liée au nouveau contrat de DSP. Une autre augmentation a été enregistrée, il s'agit des recettes liées à l'augmentation des tarifs du Village des enfants. Sur la section investissement, les opérations qui ont été menées en 2024 consistaient notamment en l'étude énergétique au niveau du Village des enfants, la réfection du poste du relevage des eaux usées au Centre Aquasportif et la réfection du bâtiment du Club house du Manchet. La seconde adjointe au maire propose d'affecter l'excédent de l'exploitation en investissement et le déficit d'investissement sera fléché quant à lui en dépense d'investissement sur 2025. Pour ce point, un vote contre et deux abstentions par procuration. Le maire n'a pas pris part au vote.


Le prochain point portait sur le compte de gestion, le compte administratif et l'affectation des résultats 2024 pour le budget eau potable et assainissement. Pour rappel, les services de l'eau et de l'assainissement sont affermés à Véolia jusqu'au 31 décembre 2029. À compter du 1er janvier 2025, le budget eau et assainissement est transféré à la Communauté de Commune de Haute Tarentaise. Il s'agit d'un service à caractère commercial dont le coût de l'exploitation est répercuté sur l'usager. Aucune prise en charge du coût du service ne doit être assumée par le Budget principal. Le compte administratif est identique au compte de gestion établi par le receveur municipal. Le taux de réalisation budgétaire après DM est de 51.4 % (Total réalisé/total budgété). Les comptes de gestion et compte administratif 2024 en version intégrale sont disponibles à la consultation auprès du Service Comptabilité / Budgets. Pour l'exploitation, un excédent de 422 667,83 euros et en investissement un excédent de 887 781,81 euros. En exploitation, il a été constaté une augmentation des ventes d'eau d'environ 33,3% par rapport à 2023. Françoise Ouachani constate que Val d'Isère a de grands consommateurs d'eau par rapport aux autres communes du territoire, mais que cela s'explique par la nouvelle DSP et de l'augmentation du prix de l'eau. Frédéric Monneret interroge sur la chronologie de la station d'épuration. Françoise Ouachani lui répond, « ça devait être fini en 2029, mais on va prendre un peu de retard donc on se bat pour que ce soit 2030. On a des contraintes au niveau de la sécurisation de la falaise et des petites fleurs, ce qui fait qu'on a des études à faire qui vont retarder le calendrier d'un an à deux ans. » L'élu demande si les travaux auront donc lieu en 2029 , ce qu'à répondu négativement la quatrième-adjointe avant que Patrick Martin ne prenne la parole. « Le DDT nous demande de mettre à niveau notre step pour 2028. En parallèle de ça, d'autres services de l'État nous demandent de sécuriser la falaise et de faire une étude environnementale et floristique sur cette falaise. Mais ça, on l'avait déjà annoncé. Aujourd'hui, on a une centrale d'épuration qui est physico-chimique, ce qui veut dire qu'on filtre, on fait sécher, on compacte et puis on a un rejet dans l'Isère qui, juste à présent, était accepté. Maintenant, les normes augmentent au niveau de l'Europe et l’on doit les appliquer. Donc notre centrale, pour certains domaines de rejets, n'est plus aux normes. On n'a pas la place de le faire comme à Tignes. Il y aura toujours du physico-chimique puis après, on passera sur du biologique ce qui fait que les rejets dans l'Isère seront de bonne qualité. Ça se fera donc en deux temps : on va garder la centrale actuelle et l’on va construire la partie biologique en aval, c'est pour ça qu’il faut qu'on sécurise. » Les études commenceront à partir de l'année prochaine. Le maire n'a pas pu prendre part au vote. L'ensemble du conseil municipal a voté pour ce point.


Le 14e point abordait le budget supplémentaire du budget ville 2025, en intégrant l'excédent de l'investissement voté un peu plus tôt durant la séance et l'excédent de fonctionnements. Un tableau de modification des crédits budgétaires a été proposé au conseil, en intégrant les excédents. Au niveau des dépenses, la commune a procédé à des arbitrages en commission de finances et ont budgété une augmentation à la prestation de la Régie des Pistes pour la réalisation du Critérium Femmes de décembre 2025, pour un montant de 350 000 euros, en plus, une prévision pour risque de 50 000 euros en cas d'annulation. Le FPIC, le budget supplémentaire permet l’affectation du Fonds de soutien intercommunal, à hauteur de 760 000 €, le nouveau dispositif du projet de loi de finances, Dispositif de Lissage conjoncturel des recettes fiscales des collectivités à 275 000 € et les subventions d'équilibre au budget annexe ont également été intégrées. Cela permettra de tenir un équilibre qui s'élève à 2 418 442,88 euros avec une augmentation de dépenses 2 918 442 euros et une diminution des dépenses de 500 000 euros. Frédéric Monneret demande si les 1,7 million d'euros noté dans le budget correspond et a un rapport avec l'ancien bâtiment de l'ancienne piscine. La deuxième adjointe explique, « le recours à l'emprunt qui est indiqué, on espère de ne pas le tirer sur le budget principal, on le met pour effectivement compenser les droits de mutation puisqu'on est soumis à des variations. » Patrick Martin poursuit, « quand on construit le budget, qu'on a voté au mois de février de cette année, on n'a pas le résultat, ce qui fait qu'on est obligé de construire un budget à l'équilibre. Les choix qu'on fait et l’atterrissage favorable nous permettent d'équilibrer définitivement notre budget supplémentaire et d'engager certaines dépenses. La dette qu'on n’a jamais tirée depuis 2020, ce qui fait qu'elle diminue au fur et à mesure et qui est à hauteur de 10 millions d'euros pour la dette communale, et pour équilibrer tout ce qu'on prévoit de faire on a cet investissement de ce crédit possible de 1,7 million d'euros. » Deux élus ont voté contre et une élue s'est abstenue.


Après le budget supplémentaire du budget ville, c'est au tour du budget supplémentaire des équipements culturels et sportifs d'être voté. Le budget supplémentaire constate l'ouverture de crédits supplémentaires. C'est une décision modificative spécifique pour allouer la reprise des résultats de l'exercice budgétaire précédent. Pour rappel, les résultats de l'exercice 2024 pour le budget annexe Équipements culturels et sportifs relève un déficit d'investissement à 479 817,82 euros et l'excédant de fonctionnement affecté à l'investissement pour 116 577,76 euros. Pour soutenir le plan d'investissement, la Commission Finances a décidé au recours à l'emprunt pour la somme totale de 360 167 €. Le budget a intégré en dernière minute est le monte-charge du Centre de Congrès qui doit être remplacé pour un montant de 80 000 euros. Ingrid Tholmer a rebondi en faisant part de son expérience lors d'une visioconférence. « Il est vraiment indispensable de le changer, car je n'entendais pas à ce moment-là. » Véronique Pesenti-Gros a expliqué qu'il s'agissait d'un équipement très ancien, par manque de pièces pour la maintenance et de plusieurs pannes durant l'hiver, il est mis hors service le temps de le changer. Un autre budget complémentaire au niveau des eaux usées du Club house du Manchet. Frédéric Monneret fait la remarque sur l'écriture du budget des équipements culturels et sportifs. « C'est toujours compliqué de comprendre qu'au final, ce n'est pas du bâtiment. Finalement on met dans ce budget équipement culturel et sportif la fausse sceptique du club house du Manchet. Pour moi techniquement, c'est plutôt du bâtiment. » La seconde adjointe exprime que la commune n'a pas le choix. « Ce sont des bâtiments qui ont une activité commerciale. » Deux abstentions ont été comptabilisées durant le vote.


    Le point numéro 16 évoquait l'évolution du tableau des effectifs du personnel communal. Il est proposé au conseil une modification de ce tableau pour prendre en compte la création des emplois non permanents des saisonniers pour cet été. Cela concerne un agent à la propreté urbaine, un agent d'entretien au niveau des espaces verts, un agent d'entretien pour le service de la crèche et un agent d'entretien pour le pôle ménage. Des régularisations sont également prévues sur la rédaction des postes avec notamment le poste de cuisinier à la cuisine centrale. Le conseil municipal a voté pour.


    Le 17e point concernait l'avenant modifiant le protocole d'accord sur l'aménagement du temps de travail. Dans un souci d'équité, d'autres services ont également été consultés sur cet aménagement des horaires. S'agissant des services en lien avec le public ou avec des partenaires extérieurs à la collectivité, une fermeture pendant trois jours consécutifs n'était pas souhaitée par la direction générale ni les élus. De même, l'application de cet aménagement à la saison d'été de la station n'était pas souhaitée. Par ailleurs, ce dispositif ne sera pas étendu aux membres du CODIR, leur engagement sur des horaires atypiques étant déjà pris en compte dans leur régime indemnitaire. Des propositions ont été faites par la direction et les services concernés, et après concertation, une proposition finalisée a été présentée au CST. Les agents éligibles à un aménagement du temps de travail sur une base de quatre jours par semaine, durant les périodes d'intersaison représentant 18 semaines par an (mai, juin, septembre et octobre), à l'exception des membres du CODIR. Cela concerne les agents du service Comptabilité-Budget, les agents du service Ressource humaine, les agents du service Commande Public, le poste d'Archiviste, le poste de Chargé(e) du suivi des DSP et des contrats d'objectifs, le poste de Contrôleur(se) de gestion. Ces derniers sont éligibles, sur les mêmes périodes et sous réserve de l'organisation d'un roulement garantissant la présence physique d'au moins un agent le vendredi matin (hors membres du CODIR). La validation de ce dispositif a nécessité la mise à jour en conséquence de l'article 8 du protocole sur le temps de travail, afin d'intégrer ces nouveaux cycles horaires d'intersaison, et de recalculer les droits à congé qui en découlent. Les élus ont voté favorablement.


La quatrième adjointe Françoise Ouachani a rapporté le point numéro 18 concernant la demande de subvention auprès de la Région Auvergne-Rhône-Alpes pour la construction de la gare routière. Pour rappel, la municipalité de Val d'Isère a fait le choix novateur d'implanter une nouvelle gare routière à l'entrée du village afin de permettre d'optimiser les flux de transport en commun et de réduire la circulation dans le centre du village. En centralisant les départs et arrivées des autocars, l'objectif étant de diminuer les embouteillages, d'améliorer la sécurité des voyageurs et la fluidité du trafic. Ce nouveau bâtiment permet ainsi d'accueillir les visiteurs de façon confortable et participe à les encourager sur le long terme à continuer de privilégier les transports en commun pour se rendre en station. Il permet également d'accueillir les voyageurs dans de bien meilleures conditions que l'abri de bus actuel. L'accessibilité a été travaillée tant dans les aménagements extérieurs qu'intérieurs. Cette démarche s'inscrit également dans la continuité de la stratégie globale de transition énergétique à l'échelle de la commune initiée et récompensée par l'obtention du label Flocon vert. La Région Auvergne-Rhône-Alpes prévoit la possibilité de subventionner ce type de travaux. Le coût total de l'opération s'élève à 1 730 700 euros TTC. L'ensemble des élus ont voté en faveur de la demande de subvention.


Le dernier point a été évoqué par l'élue Dominique Maire. Il s'agissait du choix du futur nom de l'ancien bâtiment de l'ex-piscine. L'ancien bâtiment de l'ex-piscine fait actuellement l'objet d'une reconversion. Afin de marquer cette nouvelle étape dans la vie du lieu, la commune propose de lui attribuer une nouvelle dénomination officielle. À l'issue d'un processus participatif de réflexion et de concertation à travers un sondage sur l'application Vivre à Val d'Isère, le nom « Face à Face » a été retenu à 73 votes sur les 117 réponses pour incarner à la fois le positionnement géographique du bâtiment, face à la Face de Bellevarde, mais aussi sa vocation de lieu de rencontres, de débats et d'échanges entre habitants, associations et visiteurs. Ce nom a reçu un accueil favorable au sein des services et des partenaires impliqués dans la transformation du bâtiment. Ingrid Tholmer a exprimé son amusement, « c'est original de lui donner un nom alors qu'on a du mal à voir comment on va financer le bâtiment. En effet, c'est sympa de ne plus l'appeler l'ancienne piscine. Par ailleurs, on avait évoqué la possibilité de l'appeler le bâtiment Jean-Claude Killy. C'est regrettable que cela n'ait pas été retenu et j'ignore les raisons exactes de ce sujet.» Patrick Martin a sous-entendu que le principal intéressé n'était pas favorable. Frédéric Monneret a justifié son vote contre ce projet. « Le nom Face à Face me convient bien puisque je reste en face-à-face avec ce projet sans aucun problème. Il est hors de question que je signe ça, car pour moi c'est un projet que je ne soutiens pas dans sa forme. Sur le fond, il n'y a aucun problème pour rénover ce bâtiment, mais je suis effectivement en Face à Face avec ce projet. »


Après que l'ordre du jour soit épuisé, plusieurs questions diverses ont été posées. Ingrid Tholmer a fait part de sa surprise de voir beaucoup de personnes en ce premier week-end du mois de mai et a exprimé sa déception de ne pas pouvoir soutenir l'offre suffisamment et de trouver des solutions pour les socioprofessionnels afin de pouvoir quantifier l'arrivée de dernière minute d'une forte affluence de clients. Le maire a expliqué que cela a été lié à la chute de neige du jeudi 17 avril et des derniers beaux jours de la fin de saison qui a contribué à une fréquentation inattendue dans la station. Dominique Maire a ajouté avoir observer que le peu de restaurants d'altitudes ouverts ont été pris d’assaut et de la problématique des racks à skis. Dans le public, une quinzaine de personnes étaient présentes et ont pu également poser des questions notamment sur le déneigement et la mise en place durant quelques jours de la navette du Pont-Saint-Charles alors que le chemin était encore praticable en ski. Patrick Martin a expliqué qu'il s'agissait d'une route départementale et que l'autorisation pour le déneigement a eu une réponse positive après deux jours d'attente. C'est le service de la commune qui était en charge du déneigement de cette route départementale. Une deuxième question à ce sujet a été posée sur la proposition de créer un parking pour les randonneurs au niveau du Fornet en raison des horaires de la navette spéciale. Le maire a donc rappelé les risques et les demandes d'autorisation à effectuer auprès du département. Le prochain conseil municipal devrait se tenir le lundi 2 juin.

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